Les dommages provoqués par la tempête de janvier 2009 n'ont pas tous été effacés ; la forêt des Landes de Gascogne présente encore une apparence chaotique et ses arbres semblent nous proposer un ballet lugubre...
6 commentaires:
Julie, brigueuse de truffe
a dit…
lugubre, mais ô combien superbe! en plus d'une balade entre les arbre enneigés, je viens de m'en offrir une sur ton blog (j'avais déjà vu la vieille odieuse qui m'avait bien plu)... ma foi, je repasserai!
là de ce côté, c'est certain, les lapins ont toute la place qu'ils veulent ; d'ailleurs, grâce à eux, le pré derrière la maison ressemble à un vrai gruyère !!!
En regardant à nouveau et de plus près cette série... une question : la première est un recadrage et une autre interprétation d'une partie de la première, non ? En tous cas, pour moi ça fait une série cohérente
C'est plutôt trois photos prises à peu près au même coin ; il se peut que l'une d'elle soit une portion d'une autre. Je marchais presque en les prenant;
J'ai été marqué par ces arbres tordus par le vent et laissés comme figés dans des postures grotesques de danseurs. Ce sont des signes persistants de la tempête qui s'est déroulée il y a plus d'un an et ces arbres sont laissés tel quel tandis que des propriétaires de forêt rase tous leurs arbres d'un coup, créant de sinistres déserts entre deux portions de forêt martyrisée par les tempêtes. En hiver, ce lieu devient alors sinistre. C'est je pense ce que j'ai voulu évoquer.
Le traitement aussi est différent : j'ai voulu plus ou moins de couleurs, selon chaque photo. C'était l'occasion de jouer sur la désaturation contrastée par des touches colorées ci et là.
6 commentaires:
lugubre, mais ô combien superbe! en plus d'une balade entre les arbre enneigés, je viens de m'en offrir une sur ton blog (j'avais déjà vu la vieille odieuse qui m'avait bien plu)... ma foi, je repasserai!
Tu es la bienvenue, Julie ;)
Oui mais que de belles ronces et des petits abris où se cacher et se reproduire en paix pour le lapin et le sanglier !
là de ce côté, c'est certain, les lapins ont toute la place qu'ils veulent ; d'ailleurs, grâce à eux, le pré derrière la maison ressemble à un vrai gruyère !!!
En regardant à nouveau et de plus près cette série... une question : la première est un recadrage et une autre interprétation d'une partie de la première, non ?
En tous cas, pour moi ça fait une série cohérente
C'est plutôt trois photos prises à peu près au même coin ; il se peut que l'une d'elle soit une portion d'une autre. Je marchais presque en les prenant;
J'ai été marqué par ces arbres tordus par le vent et laissés comme figés dans des postures grotesques de danseurs. Ce sont des signes persistants de la tempête qui s'est déroulée il y a plus d'un an et ces arbres sont laissés tel quel tandis que des propriétaires de forêt rase tous leurs arbres d'un coup, créant de sinistres déserts entre deux portions de forêt martyrisée par les tempêtes. En hiver, ce lieu devient alors sinistre. C'est je pense ce que j'ai voulu évoquer.
Le traitement aussi est différent : j'ai voulu plus ou moins de couleurs, selon chaque photo. C'était l'occasion de jouer sur la désaturation contrastée par des touches colorées ci et là.
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