Ces dernières photos illustrent l'exposition "Siné et les Makizards" présentée au Maki, anciens abattoirs d'Angoulême que m'avaient conseillé Unpied et l'équipe des éditions Diantre.
On y trouvait notamment le concours de crucifix organisé par Unpied (là malheureusement les photos étaient loupées), ainsi qu'une occasion proposée par l'auteur de remplir quelques unes de ses planches par un texte de notre invention. Ben pour le coup, j'ai eu une crise de page blanche ! :( Sauf que j'ai pas mal pensé à Lilith, bizarrrement absente de ses pages ; qui sait, peut-être la verra-t-on apparaître chez le psy !! ^^





Comptoir avec crânes lumineux.


Ici j'ai trouvé de l'inspiration pour les sculptures de Mo. Dans les meubles de ferraille, dans les créations de douleur.


Performance de fresque murale juste en face des pièces dédiées aux expos des éditions Diantre.





en cliquant sur la photo et à l'aide d'une prière inutile, vous devriez obtenir une version plus grande de cette photo et profiter de quelques détails amusants.



J'ai toujours beaucoup aimé les sculptures de Yoann Penard qui m'ont elles aussi pas mal aidé pour concevoir le style artistique de mon ptit Mo. Je trouve ses oeuvres rudes, avec une touche d'humour ici et là, comme pour avoir le dernier mot. Pour aller sur son site :
http://www.yoann-penard.com/

Les abattoirs forment une vrai labyrinthe. Il faut passer par l'extérieur pour atteindre le bar où étaient quelques boissons dont du vin chaud. Je suis arrivé à temps, juste avant une pénurie de verre ! Mais même la partie bar offrait une performence artistique.



exposition à l'extérieur, rencontres autour de barriques, concert éclairé de rouge

Ici, un écho de Montréal, un artiste du feu comme j'en ai photographié au Parc Lafontaine cet été. Devant se spectacle, j'ai rencontré Yoann Penard sans savoir qu'il sagissait de lui. Un sympathique moment pour terminer la soirée.
2 commentaires:
Quels locaux merveilleux ! Je me souviens des Beaux Arts à Nancy où on peignait des fresques SUR les murs (la belle et la bête façon Gotlib...). Et des phrases impérissables ("Le tant à telle heure Lucie à dit à..."). On est plus respectueux maintenant, on fait ça sur papier (il en est de même des "graffitis" urbains).
Les bandes qui se dissocient du mur me font penser à la bande (ou ruban) de Möbius qui a une seule face et finalement cela tombe bien pour un festival de BD...
:)
La leçon de ton aventure est qu'il faut toujours avoir son verre à soi sur soi...
Et je l'ai de suite appliquée, cette leçon ! :D
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