dimanche, février 08, 2015

TRANCHE DU QUOTIDIEN FAUNESQUE

Il y a toujours un côté déroutant, quand le Gourof, une fois son travail fini, vient me rejoindre dans le bureau où je travaille mes dessins, baille d'ennui, puis découvre avec jubilation la vieille cithare de ma mère dans le bazar de la pièce, toute poussiéreuse et toute désaccordée, et décide de me jouer un air de son invention le plus près possible de mes oreilles...